Il (que l'on l'appelle Y) est amoureux de moi
Il (que l'on l'appelle Y) est amoureux de moi (que l'on m'appelle X).
Mais il (que l'on l'appelle Z) n'arrive pas à comprendre que c'est bel et bien fini avec X.
Y quant à lui n'arrive pas à comprendre que rien n'a jamais commencé avec X.
X se retrouve finalement bien seul, avec ses doutes et ses trésors de diplomatie.
X aime faire des équations avec des gens qui deviennent des lettres.
Y ne comprend pas comment on peut déballer ses états d'âmes aux inconnus alors qu'il souffre tant.
X ne peut se sentir responsable de tout, et pourtant....
Y aime bien le lui rappeler pour le récuperer et le prend pour un saint et lui passe tous ces mensonges.
Entre ces trois lettres pleuvent des non dits et des scènes pornographiques.
Toutes ces équations sont pourtant dénuées de désirs sentimentaux et laissent les protagonistes en état bestial.
X se vautre dans la vulgarité et descend encore un cran plus bas dans l'exhibitionnisme. Peu importe, personne ne comprend. Il importe, tout le monde comprend.